Manon Picard
PhD Candidate in Oceanography, ULaval (2016-)
MSc in Zoology, UBC BSc in Marine Biology, UBC DEC in Applied Ecology, Cégep de Sherbrooke |
Candidate au doctorat en océanographie, ULaval (2016-)
Maîtrise en zoologie, UBC Baccalauréat en biologie marine, UBC DEC en écologie appliquées, Cégep de Sherbrooke |
Manon studies the effects of multiple sources of stress on kelp’s development and on the herbivory by their main “predator”: the green sea urchin. Her field site is based in Sept-Îles, on the north coast of the St-Lawrence in Québec. Her project is part of the CHONe II network and is done in collaboration with Isabelle Côté at Simon Fraser University (SFU) and Christopher Harley at University of British Columbia (UBC).
Her past research was focused on ocean and estuarine acidification and molluscs. Her master’s thesis was on the effects of ocean acidification on the early developmental stages of the Pacific oyster (Crassostrea gigas) in an aquaculture setting. Afterwards she worked at the UC Davis Bodega Marine Laboratory under the supervision of Edwin (Ted) Grosholz, Ann Russell and John Largier. During those two years, she was in charge of a project aimed at determining the effects of estuarine acidification on the native oysters (Ostrea lurida) in Tomales Bay. |
Au cours de ses études à l’Université Laval, Manon va étudier les effets de stresseurs multiples sur les macroalgues marines spécialement à Sept-Îles, situé sur la Côte-Nord. Son projet fait parti du réseau CHONe II en collaboration avec Isabelle Côté à Simon Fraser University (SFU) et Christopher Harley à University of British Columbia (UBC).
Les recherches antérieures de Manon ont été concentrées sur les mollusques et l’acidification des océans et des estuaires. Sa thèse de maîtrise portait sur les effets de l’acidification des océans sur les premiers stades de développement de l’huître creuse (Crassostrea gigas) en context d’aquaculture. Elle a ensuite travaillé à “Bodega Marine Lab”, le laboratoire marin de “University of California Davis”, sous la supervision de Edwin (Ted) Grosholz, Ann Russell et John Largier. Au cours de ces deux années, elle a été en charge d’un projet visant à determiner les effets de l’acidification des estuaires sur la condition des huîtres indigènes (Ostrea lurida) dans la Baie de Tomales. |